Qu’est- ce qu’une identité de marque ?

 

Une identité de marque est une image transmise par l’entreprise aux consommateurs, qui englobe l’ensemble de ses attributs, matériels ou immatériels, dont certains peuvent être édictés par une charte graphique. C’est ce que la marque cherche à faire transparaître. Aux frontières floues, cette notion comprend des caractéristiques de la marque en tant que telle (le logo, les couleurs, le visuel …), mais également des éléments commerciaux (prix, canaux de distribution …), ou encore des distinctifs historiques ou de valeurs. 

A ne pas confondre avec l’image de marque qui, plus large et moins stable, recoupe la manière dont consommateur perçoit la marque. 

Pourquoi avoir une vraie identité de marque ? 

L’objectif d’une bonne stratégie de communication est pour l’entreprise de faire coller l’image de marque au plus près de l’identité de marque. 

Elle permet d’affirmer une position identifiable sur la scène commerciale. En effet, elle va orienter vos choix de distribution, vos canaux de communication. 

le catalogue d’Ikea est ce qui encore aujourd’hui traduit le mieux leur image et identité
Nike, elle montre une image à cheval entre le sport et le monde urbain… une basket pour l’affirmation de soi

 

Elle nécessite également une vision claire des valeurs qu’elles souhaitent portés. Alors que le consommateur est de plus en plus un consom’acteur, l’achat est de plus en plus la résultante d’un choix politique et l’affirmation de soi au travers l’acquisition d’un bien ou d’un service. C’est pourquoi, au de-là d’une image qui correspond à ce que l’on vend, l’identité doit permettre de cerner à QUI on le vend. Le profil socio-économique du potentiel client est à prendre en compte dans les choix d’identité de marque (BtoB, BtoC, cadre urbain, sénior, adolescent, profession intermédiaire, culture à l’international, …).

Par la même, ces valeurs permettent également de raconter une histoire autour de la marque, de sa création. 

 

 

Des travers à éviter… 

Aujourd’hui, la sincérité et la transparence sont des éléments clés plébiscités par le public. En leur absence, l’image de marque peut prendre le pas sur l’identité de marque. L’exemple le plus probant actuellement est le phénomène de « greenwashing ». 

Une identité de marque mal définie, ou en décalage avec le consommateur visé, conduit également à des mésinterprétations. Cela peut donc avoir un impact important sur les ventes. Relancer une communication en jouant de ce qui pro quo et faire preuve d’autodérision sur sa propre identité peut être un bon moyen de relancer et redéfinir ce que l’on souhaite transmettre. 

Comment présenter une innovation sans trop en dévoiler ?

Alors que de milliers d’idées fusent à la minute, lorsque l’on décide de se lancer sur un projet en particulier et que l’on souhaite en faire part (pour chercher du soutien, recruter de nouvelles personnes, convaincre des investisseur, convaincre de potentiel client ou fournisseur…) : comment pourrais-je présenter mon concept sans trop en dévoiler ?

Pour résoudre cette problématique, 3 mécanismes différents sont à prendre en compte :

Comment se protéger en amont avant la divulgation ?

Avant toute chose, il faut savoir qu’une idée, une information ou un concept ne se protège pas en soit, mais sa matérialisation peut en faire l’objet.

Selon le support, le code de la propriété intellectuelle offre plusieurs solutions juridiques. Dans tous les cas, le droit d’antériorité s’applique: il est nécessaire de prouver que le projet en question est nouveau. Cette preuve constitue l’enjeu de la protection des droits.

Pour protéger l’auteur

La lettre recommandée

Solution économique mais limitée, vous avez la possibilité de vous envoyer à vous même un recommandé mais ce dernier doit rester scellé. À noter qu’il faut savoir précisément quoi mettre dedans et ce souvenir de ce que l’on a mis.

L’enveloppe soleau

L’enveloppe soleau est un service de l’INPI qui permet de déposer, de la même manière que la lettre recommandée, les travaux engagés. Mais à la différence du courrier recommandé, elle est consultable bien que non modifiable.

Pour protéger le projet

Le dessin et modèle permet de protéger la forme. Le brevet et le dépôt d’invention permettent de protéger des avancées techniques. Ces 2 systèmes sont gérés par l’INPI, sur une durée donnée, à échelle d’un ou de plusieurs pays.

A qui tu la présentes ?

Recherche de soutien financiers

L’important, cela va s’en dire, est de convaincre votre interlocuteur que votre projet va générer de l’argent. Les détails techniques engendrés par la plus-value de l’innovation n’importe donc que peu. L’enjeu principal est donc de présenter votre projet en concentrant vos propos sur la cible client.

Recherche de soutien matériels, fonctionnels

Dans ce cadre, vous avez souvent face à vous des institutions, des pépinières, des incubateurs, l’aspect clé est donc le projet, et l’innovation que vous portez. Cependant, dans la majorité des cas, lorsque vous cherchez ce type de soutien, le projet n’est à qu’à sa phase préliminaire. Vous pouvez donc présenter votre projet et l’innovation que vous souhaitez voir éclore sans l’avoir pour le moment atteint. La problématique de protection ne se pose donc pas encore.

Recrutement

Dans un premier contact, seule une explication globale de l’entreprise est nécessaire pour créer de l’intérêt sur le projet. Dans un second temps, une protection des innovations en amont est nécessaire. La signature d’un accord de confidentialité peut toujours faciliter vos potentiels rapports.

 

De quelle information ton interlocuteur a-t-il NECESSAIREMENT besoin ?

Comment présenter précédemment, les informations nécessaires à la compréhension du projet dépendent de votre interlocuteur.

 1 dessin vaut 1000 mots

Le support de présentation doit captiver votre auditoire. Axez donc davantage votre travail sur des schémas, des dessins, des infographies qui illustreront de manière claire et simplifier votre projet. Il n’est pas nécessaire de télescoper vos slides et votre discours. Gardez en tête que l’image parle d’elle même, et viendra compléter aisément vos arguments.

Résumer son invention en 1 tweet

Demandez vous toujours ce que vous souhaitez que l’interlocuteur retienne de vos propos. Il est toujours intéressant de résumer votre projet en 30 secondes.

Les stratégies de vulgarisation dans le développement produit : pourquoi y avoir recours ? comment procéder ?

Bien souvent, une seule photographie ne suffit pas à faire comprendre aux consommateurs ou aux investisseurs le bien-fondé de l’acte d’achat de tel ou tel produit, solution technique, ou service, l’entreprise est donc amenée à mettre en place des stratégies de vulgarisation afin de mieux faire comprendre l’utilité et l’utilisation de ce qu’il vend. Généralement associée au monde scientifique, la vulgarisation peut être d’une aide précieuse dans le développement de vos projets.

Dans cet article, je vais donc vous exposer l’intérêt de ces procédés et leur mise en place.

 3 raisons d’opter pour une stratégie de vulgarisation

1- Faire passer des messages clés

Cela peut paraître couler de source sur le papier mais un bon nombre de projets a échoué car le discours n’était pas clair pour l’interlocuteur. Vulgariser c’est avant tout savoir présenter le concept du produit de manière rapide et concise.

les vues iso permettent de montrer facilement le produit en éclater et donc d’expliquer le produit

 

2-  Susciter l’intérêt, la curiosité

La vulgarisation est une stratégie introductive de votre communication et sert à mettre votre auditoire dans une bonne composition !! Gardons en tête la jungle dans laquelle le consommateur se trouve, qu’il soit actif dans sa recherche ou passif face à de la publicité. La vulgarisation est un bon moyen de capter son attention.

  

3- Créer de la confiance

Présenter son produit est souvent le fruit d’un moment d’échange, il faut donc créer de la confiance avec les personnes qui vous écoutent. Cela passe par comprendre leurs besoins, adapter son discours en fonction et ainsi donner les bonnes informations. L’empathie joue donc un rôle clé pour cerner l’utilisateur face au produit, en avoir une vision extérieure et adaptable à l’allocutaire.

Par exemple, sur un même concept, les besoins en B2B et en B2C seront différents, de la même manière que le discours que vous devez porter.

 

Comment vulgariser ?

Simplifier … mais pas trop

Vulgariser c’est diffuser au grand public des connaissances, des idées, des produits. C’est pourquoi il est important de définir des niveaux de discours du plus simple au plus détaillé. Vous pourrez alors vous adapter à vos interlocuteurs en fonction de 2 paramètres structurants dans vos argumentaires: le temps qu’ils vous accordent et leurs positions (sociales ou professionnelles).

 

Bien comprendre son produit pour bien le vulgariser

Pour vendre une solution technique, un produit fini ou un service, les enjeux sont les mêmes: l’important est de bien cerner les informations nécessaire à donner aux clients pour qu’ils soient en confiance pour acheter.

Mélanger les actions en différenciant les supports

Il est important de travailler en multipliant les modes d’explication afin d’être prêt pour toutes situations : support vidéo, slides, infographie. Qu’ils soient numériques, verbaux ou en format papier, le résultat est le même : plus vous différenciez, plus vos arguments sont percutants.

 

Pour vendre une solution technique, un service ou un nouveau produit, les entreprises ont souvent le réflexe de confier la démarche à un technicien. C’est parfois loin d’être la meilleure option. A minima, il faudra trouver une personne qui intègre le processus de développement projet et se saisit des problématiques clients tout en se distanciant de l’expertise technique.

Design et Marketing : prêts pour le (re)mariage ?

Marketing et design ont un but commun: convenir aux consommateurs pour vendre. Mais leurs méthodes diffèrent : alors que le marketing se place davantage dans une approche quantitative, le design thinking est une pratique basée sur le qualitatif et la recherche d’une plus-value.

Ce constat étant fait et même si le mariage semble par avance un peu compromis, design et marketing ont tout intérêt à travailler conjointement, l’un complétant l’autre.

Cette synergie porte un nom : le design global identitaire. Au service de l’entreprise, elle construit les contours de la marque, son image, son positionnement. Elle permet aussi de faire la évoluer par de nouvelles propositions tout en gardant un cohérence. Sans rentrer dans une guerre d’échelle de valeur et d’utilité entre deux mondes, voici comment, via mon expérience, j’ai pu gouter à l’utilité d’une collaboration entre designer et marketer.

Le Design au service d’une marque

Pour vendre aujourd’hui, le branding ne suffit plus, il faut trouver un nouvelle manière de créer de la valeur autour du produit. En effet, marquer l’esprit d’un consommateur passe de plus en plus par susciter chez lui de l’émotion.

Lancement d’un nouveau produit/d’une nouvelle marque

Le design est un élément-clé dans la création d’une marque car, aujourd’hui, l’objet doit être partie prenante de son identité: il est la représentation première de la marque. Le design ne se limite plus au seul packaging, à l’identité visuelle, au logotype, au Web mais crée du sens.

 

Camilla carvalho from Unslpash
Adidas existe par la présence de son logo et non par la forme de ses vêtements
Dc Martens ont fait le choix de garder une forme iconique pour leur chaussure ce qui les rend distinctives

 

 

Faire évoluer un marque/relancer un produit

Aujourd’hui, l’acte d’achat ne se limite plus à l’acquisition d’un objet. Le consommateur achète un imaginaire et une histoire qui entoure le produit. Le design prend alors une place prépondérante dans le story-telling attenant à la marque. S’associer avec un designer peut permettre de faire évoluer le produit en créant une valeur symbolique, via un discours conté par ce dernier, déclencheur d’achat ou de ré-achat (cf, Le designer est un conteur, Nicolas Minvielle).

 

 Le Design au service du consommateur

En amont … le designer, élément pivot dans la démarche projet

Le design se fonde sur l’analyse utilisateur et la réflexion de son expérience pour ainsi répondre au mieux à ses attentes. Il interprète les besoins cachés et souvent non connus du consommateur lui même. Cette démarche le place donc dans une position centrale dans le processus de création du produit ou du service qu’une marque veut proposer. Il travaille de concert avec toutes les parties prenantes du projet, comme pièce pivot créateur de lien entre chaque entité (marketing, vente, achat, production).

En aval … analyse des retours clients

L’analyse des retours clients est très différente en marketing et en design. Alors que le marketing s’appuie essentiellement sur les recommandations faites par le client ou les systèmes algorithmiques basés sur une critérisation sociale et/ou géographique, le designer prend davantage en compte l’environnement du consommateur, dans une démarche presque anthropologique d’analyse des modes de vie du quotidien. Cette dernière permet de comprendre les besoins et envies cachées: si on écoute purement le client on ne peut pas innover.

Le designer est formé pour maîtriser des techniques précises et l’ergonomie ainsi que pour développer sa sensibilité esthétique : ce champ n’est pas le domaine du marketing (ni de l’ingénieur d’ailleurs). Sa capacité à articuler la fonction et l’émotion lui confère, enfin, un atout majeur dans l’entreprise. Le marketing, quant à lui, permet de développer le projet design en pensant à la performance de l’entreprise, au marché et au client. Il faut retenir que tant le marketing que le design apportent de la valeur au consommateur. Qu’elle soit utilitaire, hédonique, esthétique voire spirituelle, ou encore d’estime.

Comment bien passer l’été

Le solstice vient de passer, l’été est définitivement arrivé ! Fin du confinement oblige, nous avons envie de changer nos intérieurs (et extérieurs !!!!) alors j’ai décidé de décrypter pour vous les grandes tendances 2020 afin de vous permettre d’y voir plus clair et pouvoir renouveler vos univers en petites touches.

Indoor/Outdoor: une frontière de moins en moins définie

Première bonne nouvelle pour les ultras urbains, plus besoin d’extérieur pour respirer le grand air (oui, oui, c’est possible !!), l’outdoor s’invite dans votre appartement et la nature s’y fait une place de maître. Plantes en pot et matières naturelles vont être vos précieux alliés.

Quelles plantes ?

Monstera, plante à monnaie chinoise, bégonia, crassula: le choix est large. L’important pour les choisir est définir l’endroit où vous souhaitez les placer : au sol ? Tournez-vous davantage vers des plantes assez volumineuses. Au mur ? sur une étagère ? sur une table ? les petits contenants seront parfaits, facilement déplaçables, ils vous permettront de faire évoluer votre aménagement par de petits détails rafraichissants. Suspendues ? Les plantes tombantes donneront un très bel effet de verticalité et de hauteur et structureront davantage l’espace. L’exposition et le taux d’humidité sont primordiaux, n’hésitez pas à prendre conseil auprès de votre fleuriste ou dans votre jardinerie.

Trop peur de ne pas avoir la main verte ? Grande tendance de la bourgeoisie des années 50, le terrarium fait son retour dans nos intérieurs. Cette bulle de verre (et de vert) offre un ecrun de nature dans sa version miniature.

Pour les moins téméraires, il reste en dernier recours la solution fleurs séchées pour une ambiance maison de campagne toute l’année qui vous permettra de prolonger l’été même après la rentrée.

Ne vous limitez surtout pas à la pièce à vivre et à la cuisine : rebord de baignoire, étagère dans la chambre, au milieu des livres… l’insolite et l’inattendu ne rendront votre déco que plus personnelle et à votre image.

Des matières et des couleurs naturelles

Terre cuite, terre cru, terracotta, bois, rotin, osier, jonc de mer: ces matières vous semblent familières ? C’est normal, elles trustent totalement l’univers de la déco en ce moment !

Côté textile: coton, lin, chanvre, aux couleurs plutôt neutres, se marieront aisément à des styles divers et variés.

Du rotin dans une ambiance sixties et joliment vintage, des paniers et des tabourets en bois et paille pour un côté artisanal et ethnique, des plaids et des tapis en laine dans une ambiance hygge, du bois brut dans une décoration rustique… L’avantage ? les matières naturelles sont faciles à vivre et à entretenir.

Du mobilier 2 en 1

Pour le mobilier, n’hésitez plus à métisser indoor/outdoor : le fauteuil lounge très prisé en extérieur se fera une place de choix dans votre salon. Pour les chanceux qui auraient une petite terrasse ou balcon, voici la solution pour utiliser table et assise toute l’année, autant dehors qu’en intérieur.

Réaménager sa terrasse/son balcon

Grande ou petite, exposée plein sud ou plein est, elle est THE pièce supplémentaire à cette saison, alors vous avez tout à fait raison de vouloir la bichonner !

Pour les petits espaces, il faudra choisir entre assise haute et assise basse en fonction de votre mode de vie et de l’utilisation de votre terrasse

Pour les grands terrasses, compartimenter l’espace en plusieurs aires reste la clé : cuisine d’été, salon de jardin, table haute, les possibilités sont multiples. Le principal est de définir pour chaque zone une utilisation propre. Prenez soin de réfléchir à vos besoins et vos envies et ainsi les dispatcher sur votre terrasse. Voici quelques exemples pour illustrer ce concept.

côté lumière : varier les ambiances

Même si le jour se prolonge tard, le choix de la lumière est primordial et dépend également de l’ambiance que vous voulez donner à cet espace et l’utilisation que vous voulez en avoir.

Lampions, guirlande led, lampe solaire, bougies, là encore, ne vous mettez aucune limite !!

côté textile : mixer les matières

En privilégiant les matières naturelles, elles ont l’avantage de toute se marier entre elle, aucun risque de faire fausse route, les possibilités sont infinies. Notons tout de même que pluie et exposition au soleil vont mener la vie dure à vos textiles alors privilégier des matières plus robustes pour les assises et diversifier les styles sur les pièces plus petites (coussins, arts de la table …).

Envie d’imprimés ? coussins en wax, canapé aux motifs végétaux et tropicaux, tapis aztèque ou berbère: là encore, vous avez l’embarras du choix.

Le voile d’ombrage est l’allié chic et sobre de terrasse. Pendant du parasol, il protège autant du soleil que de la pluie. Accroché en 3 points, il libère plus d’espace au sol en évitant un pied imposant.

Dessiner du mobilier urbain…

Dans le cadre de mon projet de diplôme j’ai eu la chance de travailler avec l’entreprise GHM-Eclatec pour laquelle j’ai réfléchi sur les nouvelles questions urbaines et ce que cela impliquait dans le mobilier.

Exposition des diplômes de master design strategy

A l’issu de notre semaine de soutenance, nous avons monté une exposition dans La Chapelle de l’école supérieure de design de Troyes pour présenter nos travaux. 

Cette exposition permet à la fois de montrer notre travail aux autres élèves et surtout elle permet de mettre en lumière auprès des entreprises de la région partenaire ou non de l’école le travail que nous avons effectué en collaboration avec eux.

Un ashram à Bali

Pour la fin du moi de juillet, j’ai choisi de faire une retraite de yoga à Bali. Pendant une semaine je suis donc dans un ashram pour de la méditation et la découverte de la culture locale. 

Nos journées se divisent en 2 classes de yoga, une le matin et une le soir. Puis le reste de la journée nous partons à la découverte de la culture locale. Nous avons le cours à un cours sur les offrandes dans les temples hindous et surtout comment les faire. 

Puis nous avons pu visiter les rizières avant de déguster les spécialités culinaires locales, le tout face à un spectacle de dance. 

La fin de ma semaine fut occupée par des cours de cuisine et un massage !